vendredi 28 mai 2010

New York

Si il devait y en avoir qu’une, ce serait elle : ma douce et tendre, mon amour de plus de dix ans, celle qui ne m’a jamais trahie, jamais déçue, jamais trompée. Celle qui ne se vexe pas que j’hume ces bas-fonds, qui reste toujours fidèle à elle-même - sûr de ces convictions. Celle qui n’a peur ni du présent, ni du reste, pour laquelle tout est possible. Les rêves qu’elle me susurre m’apaise, sa dévotion en un monde multiculturel m’inspire, sa créativité m’élève. Plus qu’une ville c’est un terrain de jeux, qui se réinvite tout les jours, qui permet les plus fous espoirs, qui de sa grâce urbanistique m’inspire les plus grands fantasmes.

New York, veux-tu m’épouser ?

Et peu importe ta réponse, ma belle, je sais que tu es là quand j’ai besoin de toi. Et une fois de plus tu m’a fait plaisir, tu ne m’a pas déçu. Moi qui était parti pour un peu de réconfort tu m’a apporter l’énergie et le rêve.

De la 181ième ou je logeais chez des New Yorkais rencontré il y a des années là-bas, en passant par Broadway et ces hordes de magasins, le Moma – cet incroyable musée, le Village est ces ruelles amusantes, Time Square à en perdre la tête de son gaspillage énergétique, en passant par le Soho House pour le côté select, le Cloister de la 190ième pour déconnecter du bruit, Central Park est sa végétation incroyable où ses créateurs on voulu un espace où tous les enfants pourraient jouer sans connotation racial ou de classe social et surtout car lorsque je suis à New York, je passe du patron de boite de publicité au working poor amassé dans un métro bondé qui me ramène vite les pieds sur terre et ou tout le monde a, au moins, la chance de pouvoir tenter son rêve, même si il n’y arrive pas…
C’est peut être pour cela que je t’aime tant. Jamais tu ne dira non, tu dira juste : essaie, prend ta chance, ne meurs pas d’ennui, ne cesse, jamais, au combien jamais, de rêver et de croire que tout est possible. Et qu’il en soit ainsi.

New York I love you.

mercredi 26 mai 2010

Barcelona

Qui n’est jamais aller manger des Tapas sur les Ramblas ? Tronquer quelques pièces pour une sangria ? Ou encore trainer ses savates dans la fameuse Sagra De Familia ?

Ok, j’ai la réponse.

Mais qui y est déjà allé sur un coup de tête en voiture, bloqué à 5 minutes de l’embarquement par un noir et inintelligible volcan ?
Haha on rigole moins là !

Pour agrémenter le tout, on prend un Suédois, un couple : Roumano-Croate-Italiano, on mixe tout cela, on rajoute une pincé d’Aitor le Barcelonais et on savoure trois jours dans la capitale Catalane.

Savoureuse, fière, avant-gardiste et intrigante, Barcelone se réinvente à chaque visite. De ces façades majestueuses à ces maisons sans bords elle ouvre la voix à l’imaginaire, l’irréelle, la créativité et la sensualité.

Juste pour le cœur, pour la bouche et pour le porte monnaie, un bonheur, à chaque fois, à partager de préférence, avec des gens singuliers et mirobolants.